lundi 3 mars 2025

Un témoignage inspirant

 Bonjour, 


Elena partage ses difficultés en médecine. 

Vous y trouverez peut-être quelques similitudes avec ce que vous vivez. 

Perte de sens. 

Efforts et renoncement à ce qui est important pour vous parce que "ce sera mieux après"

Déception, difficultés, souffrance, mais difficulté à renoncer au statut social, à la perspective d'une belle carrière et de revenus confortables...

 N'hésitez pas à nous partager ce que vous en pensez dans les commentaires...


lundi 10 février 2025

Il n'y a pas qu'en prépa que c'est dur et arbitraire...


 

Bonjour, 


Un petit coucou pour vous partager cet article qui dit bien les choses : 


https://www.lemonde.fr/campus/article/2025/02/10/le-sentiment-d-injustice-des-etudiants-en-medecine-se-faire-eliminer-a-cause-d-un-oral-de-dix-minutes-ca-peut-etre-tres-decourageant_6539626_4401467.html

 

Cet oral, Louis Kelbert est fatigué d’en parler. Aujourd’hui en troisième année d’études de médecine en Belgique, le jeune homme considère avoir « réussi à rebondir ». Pourtant, à la fin de sa première année d’études de santé à l’université de Strasbourg en 2021, Louis était tombé des nues devant son 6/20 à l’oral d’analyse iconographique – le commentaire d’une gravure du XIXe siècle, suivi de questions du jury. Cette note conditionnait son admission en deuxième année de médecine, un rêve d’enfant.

« Quand on s’investit à fond pendant un an pour, finalement, se faire éliminer à cause d’un oral de dix minutes, ça peut être très décourageant », se rappelle-t-il. Bien qu’ayant obtenu 15/20 de moyenne aux écrits, Louis était passé de la 54e à la 200e place du classement. Il faisait partie des « déclassés » de la première année de réforme d’accès aux études de santé et a depuis été auditionné par le Conseil d’Etat et la Cour des comptes avec le collectif national PASS-L.AS, formé par des parents d’élèves et des étudiants.

 La suite sur le site du Monde (deux paragraphes en accès libre, puis un accès réservé aux abonnés)


Ces derniers temps, les parents et les élèves découragés par la difficulté du concours Véto ne partent plus en Belgique (désormais sur tirage au sort) mais jusqu'en Roumanie (où l'on parle français) ou au Portugal. 

A mes yeux, il est temps de permettre à nouveau aux élèves d'accéder aux métiers de médecins et de vétérinaires : nous en avons grandement besoin, même si les ophtalmo grecs ont la gentillesse de recevoir nos enfants en consultation ! 

Est-ce qu'à notre échelle nous sommes capables de changer les choses ?

Il est temps !

 

Bonne journée, 

 

Gabriel